« hobereau » : différence entre les versions

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Traductions : +catalan : noble rural (assisté)
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#* ''Avant d’épouser M. de Bargeton, stupide '''hobereau''' qu’elle estime et chérit juste ce qu’il vaut, elle avait aimé, jeune fille, un brillant officier qui est mort à l’armée.'' {{source|{{w|La Revue des Deux Mondes}}, [[s:Chronique de la quinzaine.- 14 août 1837|''Chronique de la quinzaine'' - 14 août 1837]]}}
#* ''Il s’enquit, bien entendu, des '''hobereaux''' d’alentour, apprit qu’ils s’appelaient Blokhine, Potchitaïev, […]'' {{source|{{w|Nicolas Gogol}}, ''Les Âmes mortes'', 1842 ; traduction de Henri Mongault, 1949}}
#* ''Cependant, nous devions, plus tard, habiter la Maison (grand M) toute l'année et nous en contenter, comme se contentent des leurs, en tous points analogues à la nôtre, les '''hobereaux''' de la région. '' {{source|{{nom w pc|Hervé| Bazin}}, ''{{w|Vipère au poing}}'', Grasset, 1948}}
#* ''DE GUICHE, voulant emmener le vicomte pétrifié.<br />Vicomte, laissez-donc !<br />LE VICOMTE, suffoqué.<br />Ces grands airs arrogants !<br />Un '''hobereau''' qui… qui… n’a même pas de gants !<br />Et qui sort sans rubans, sans bouffettes, sans ganses !'' {{source|{{w|Edmond Rostand}},''[[w:Cyrano de Bergerac (Rostand)|Cyrano de Bergerac]]'', 1897, acte I, scène 4}}
#* ''Ce petit '''hobereau''' débuta avec presque rien et s’acquit promptement la réputation de pique-assiette : mais à sa mort il possédait quelque cent mille roubles d’argent liquide.'' {{source|Fédor Mikhaïlovitch Dostoïevski, ''Les Frères Karamazov''}}