« compagnonnage » : différence entre les versions

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# [[temps|Temps]] pendant lequel un [[jeune homme]] qui avait fini son [[apprentissage]] [[travailler|travaillait]] chez un [[maître]], avant de pouvoir travailler pour son [[propre]] [[compte]].
# [[réunion|Réunion]] des gens de certains [[métier]]s en différentes [[association]]s.
#* ''Les mœurs des '''compagnonnages''' furent longtemps fort remarquables par leur brutalité ; avant 1840, il y avait constamment des bagarres, souvent sanglantes, entre groupes de rites différents ; […].'' {{source|{{w|Georges Sorel}}, ''Réflexions sur la violence'', Chap.VI, ''La moralité de la violence'', 1908, p.268}}
#* ''Entre eux, les tondeurs sedanais font des assemblées. Après avoir bien réfléchi et discuté avec les maîtres depuis avril, le 1er août 1750 ils décident d'engager la « cloque », c'est à dire la grève générale des sept cents compagnons, et de « muleter » les jaunes de cinquante livres d'amende selon la tradition du '''compagnonnage''' auquel ils semblent appartenir.'' {{source|{{w|Henri Manceau}}, ''Des luttes ardennaises'', 1969}}
#* {{figuré|fr}} — ''Nine, c'est un peu comme la mère de ce '''compagnonnage''', où les loups sourient aux dévorants.'' {{source|{{w|Victor Méric}}, ''Les compagnons de l'Escopette'', 1930, p.191}}