Recherche générale sur le mot gone et son utilisation

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Géographie et histoire des échanges sur l’axe rhodanien

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La période grecque
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5 siècles av JC : de Marseille à Lyon, implantation et exploitation des vignobles[1]

Origine étymologique

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confusion orthographique

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  1. liste des homophones possibles
  1. liste des apparentés sémantiques[2][3]

Classement possible en deux groupes distincts.
Duplication courante par n gemellaires

transmission orale

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Amalgame phonétique possible « o » et « ou » qui rapprocherait gonot et gounot comme le grec γόνος (gonos) et γόυνος (gounos) ouvrant ainsi une troisième voie sémantique [4]
Le traitement de la diphtongue « όυ » donne u, parfois ou [5] ce qui logiquement devrait donner des vocables de la forme gun- : soit gunot (oui) ou gunier (non).
Le mode de transmission dit ancien populaire est parfaitement décrit p. 16-17 de cet ouvrage : grec  »> latin  »> roman. En précisant que "le résultat est qu’ils ont été particulièrement exposés aux évolutions phonétiques" (!) avec l’exemple : puxida (grec) »> buxta (latin) »> boîte (français).
Puis, certains vocables ont pu être vulgarisés.

transmission écrite

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Du grec au latin : le « u » et le « v » ne sont pas distingués[6] La confusion du grec « ν » et du « v » est scripturalement possible[7][8]
Ainsi, le mot γόυνος (gounos) peut être transcrit : gounos ou gonnos
et (pourquoi pas ?) γόνος (gonos) par goſſos (devenu gosse) dès lors que ſ (s long) gémellaire est accolé[9] et peut s’apparenter au « n » seul (2 jambes).

utilisation populaire

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pôle sémantique

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dérivation

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  1. histoire des vins du Rhône
  2. projet babel
  3. dictionnaire des noms
  4. dictionnaire grec-français par C. Alexandre, 1850, p 316
  5. Etymologies du français : les racines grecques, J. Bouffartigue, Anne-Marie Delrieu, 1996, p. 23
  6. Ecriture et prononciation du latin
  7. R. Marichal, L'Écriture latine et l'Écriture grecque du Ier au VIe siècle, p. 116
  8. séparation de "u" et "v" par Hervé Fayard
  9. Le s long ou ſ