Français modifier

Étymologie modifier

 Composé de glande et de pinéal.

Locution nominale modifier

glande pinéale \ɡlɑ̃d pi.ne.al\ féminin

 
Coupe médiane de l’encéphale du cheval (Equus caballus). (1) bulbe rachidien, (2) pont de Varole, protubérance annulaire, (3) pédoncules cérébraux, (4) cervelet avec l’arbre de vie, (5) ventricule postérieur, (6) aqueduc de Sylvius, (7) valvule de Vieussens, (8) tubercule natis, (9) hippocampe, (10) épiphyse, glande pinéale, plus grosse qu’en réalité, (11) grande veine de Galien, (12) ventricule moyen, (14) trou de Monro, (16) commissure grise (18) tubercule mammilaire, (19) hypophyse, glande pituitaire, (20) tige pituitaire, (21) chiasma des nerfs optiques, (22) trigone cérébral, (23) corps calleux, (24) septum lucidum, (25) circonvolutions cérébrales, (26) lobule olfactif.
  1. (Anatomie) Une petite glande endocrine de l’épithalamus du cerveau des vertébrés qui sécrète la mélatonine, et joue par son intermédiaire un rôle central dans la régulation du rythme biologique (jour et nuit, saison, etc.).
    • Nos corps sont si semblables qu’un seul chromosome provoque la trisomie 21, qu’une toute petite atrophie de la glande pinéale ouvre la porte à la cruauté et à la violence extrême, qu’un mince dérèglement du niveau de la sérotonine provoque des hallucinations. — (Ollivier Dyens, La Condition inhumaine. Essai sur l’effroi technologique, Flammarion, 2008, page 38)

Synonymes modifier

Traductions modifier

Voir aussi modifier

Références modifier