Voir aussi : harai goshi, haraï-goshi

Français modifier

Étymologie modifier

Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Du japonais 払腰, harai goshi (« hanche balayée ; hanche fauchée »).

Nom commun modifier

harai-goshi \a.ʁaj.ɡɔ.ʃi\ masculin

 
Harai-goshi
  1. (Judo) technique de projection visant à faire pivoter et chuter son adversaire par-dessus l’arrière de sa hanche.
    • À titre d’exemple, elle a conclu son dernier combat en seize secondes – durée pendant laquelle elle a réussi à étourdir son opposante avec un crochet du droit, à lui attraper la tête, à lui donner des coups de genou, à la mettre à terre avec un parfait harai-goshi et à lui infliger une douzaine de coups sans qu’elle puisse réagir, avant que l’arbitre ne finisse par s’interposer. — (Joel Snap, « L'Ultimate Fighting, modèle d'égalité hommes-femmes », Courrier international.com, 14 février 2015, traduction française d’un article publié dans le New Statesman)
    • Jusqu’à maintenant assez limité aux o-soto-gari ou harai-goshi (fauchages extérieurs sur l’arrière et l’avant), le Français a élargi sa palette en plaçant deux uchi-mata (fauchage à l’intérieur des cuisses) d’école, un étranglement et un même un o-uchi-gari splendide en finale contre l’Allemand Andreas Toelzer. — (Florent Bouteiller, « Teddy Riner, la classe cinq étoiles », Le Monde.fr, 27 aout 2011)
    • Cette fois, son fameux « harai-goshi », sa technique favorite, ne sera pas suffisant. — (Benoît Baume, « Jean-Luc Rougé combat pour un judo social », 21 février 2005)

Variantes orthographiques modifier

Traductions modifier

Voir aussi modifier