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Loin au-dessus du sol en hivernance sacrée, le nu des ramures dessine des milliers de bras levés dans une danse muette, un ballet d’adorations aériennes conjurant le retour du printemps.— (Écriture, numéros 62 à 63, 2003)
Un parfum frais, léger, commence à s’épancher. On sait qu’il n’incommode pas les autres, leur dit des souvenirs de cours d’école avant l’étude du soir, ou d’hivernances.— (Philippe Delerm, L’extase du selfie – D’une seule main la clémentine, Seuil, 2019, page 24)