santoline petit cyprès
Étymologie
modifierLocution nominale
modifierSingulier | Pluriel |
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santoline petit cyprès | santolines petit cyprès |
\sɑ̃.tɔ.lin pə.ti si.pʁɛ\ |
santoline petit cyprès \sɑ̃.tɔ.lin pə.ti si.pʁɛ\ féminin
- (Botanique) Sous-arbrisseau aromatique méditerranéen à feuilles persistantes d’un blanc-argenté, à fleurs en globules jaune vif.
La santoline petit cyprès est insecticide (garde-robe) et fébrifuge.
Notes
modifier- En biologie, le genre, premier mot du nom binominal et les autres noms scientifiques (en latin) prennent toujours une majuscule. Par exemple, pour l’être humain moderne : Homo sapiens, famille : Hominidae. Quand ils utilisent des noms en français, ainsi que dans d’autres langues, les naturalistes mettent fréquemment une majuscule aux noms de taxons supérieurs à l’espèce (par exemple : les Hominidés, ou les hominidés).
Un nom vernaculaire ne prend pas de majuscule, mais on peut en mettre une quand on veut signifier que l’on parle non pas d’individus, mais de l’espèce (au sens du couple genre-espèce), du genre seul, de la famille, de l’ordre, etc.
Variantes
modifierSynonymes
modifier- aurone femelle
- camomille de Mahon
- cyprès des jardins
- cyprès nain
- faux cyprès
- garde-robe
- petit cyprès
- sanguenite
- santoline blanche
- trufemande (en moyen français)
Traductions
modifier- Conventions internationales : Santolina chamaecyparissus (wikispecies)
- Allemand : Graue Heiligenkraut (de)
- Anglais : cotton lavender (en), gray santolina (en), garden-cypress (en)
- Arabe : سرو رشيق (ar) sarw rashiiq, شربين (ar) sharbiin
- Espagnol : abrótano hembra (es) (armoise féminine)
- Polonais : santolina cyprysikowata (pl)
Hyperonymes
modifier- astéracées (Asteraceae)
Prononciation
modifier- Somain (France) : écouter « santoline petit cyprès [Prononciation ?] »
Voir aussi
modifierRéférences
modifier- Christian Meyer, éditeur scientifique, Dictionnaire des sciences animales, Cirad, Montpellier, France, 2024, article santoline
- Claude Meslay, Marie-Françoise Delarozière, Herbier méditerranéen, Édisud, 2007, page 80