Français modifier

 

Étymologie modifier

Expression latine constituant un ablatif absolu.

Proverbes et phrases toutes faites modifier

sede vacante \se.de va.kɑ̃.te\

  1. Le siège épiscopal ou le Saint-Siège étant devenu vacant.
    • un expédient ingénieux fut trouvé. En hâte, au commencement du mois d’août 1668, le 11, — quoique à cette date la nomination du nouvel évêque fût faite depuis quarante-sept jours, — le Chapitre, feignant de considérer que le siège était encore vacant, usa du droit qu’il avait, — et que les Chapitres ont conservé jusqu’à ces temps derniers, — d’élire, via scrutini, les vicaires généraux chargés, sede vacante, de l’administration spirituelle du diocèse. — (Alfred Rebelliau, « La Correspondance de Bossuet » (6e partie) in Revue des Deux Mondes, année 1920, page 400 ; transcription et fac-similé de la page procurés par Wikisource : s:Page:Revue des Deux Mondes - 1920 - tome 58.djvu/402.)

Apparentés étymologiques modifier

Traductions modifier

Prononciation modifier

  • La prononciation \se.de va.kɑ̃.te\ correspond à la prononciation scolaire du latin naguère en usage en France.

Voir aussi modifier