« hostie » : différence entre les versions

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#* ''C'est une messe. […]. Il achève l'offertoire, et je le vois, debout, qui saisit la patène plaquée contre sa poitrine. Un enfant de chœur lui tend, l'une après l'autre, le burettes, cependant que le prêtre dépose l’'''hostie''' sur le corporal.'' {{source|{{w|Victor Méric}}, ''Les compagnons de l'Escopette'', 1930, p.249}}
#* ''Or, le bruit se répandit bientôt que le juif avait jeté l''''hostie''' dans une cuve d'eau bouillante, à la suite de quoi l'eau aurait rougi sans s'altérer. Et l'on assurait que, depuis ce temps, l'enfant Jésus surnageait dans cette eau, sans qu'il fût possible de l'y enfoncer.'' {{source|{{w|Léon Berman}}, ''Histoire des Juifs de France des origines à nos jours'', 1937}}
#* ''Autrefois, et encore aujourd'hui dans certains rites, cela se pratiquait vraiment avec du pain : le pain le plus banal, celui que pétrit le boulanger. Aujourd'hui, chez les catholiques, ce sont ces petites rondelles blanches, à la consistance et au goût de carton, qu'on appelle des '''hosties'''.'' {{source|{{w|Emmanuel Carrère}}, [[w:Le Royaume (récit)|''Le Royaume'']], 2014, p. 102}}
# {{histoire|fr}} [[victime|Victime]] [[offrir|offerte]] et [[immoler|immolée]] à [[Dieu]] chez les [[Hébreux]].
#* ''Ainsi de belles fleurs l’'''hostie''' est couronnée,<br />Alors qu'au sacrifice en pompe elle est menée.'' {{source|[[w:Isaac de Benserade|Isaac de Benserade]], ''[[s:Cléopâtre (Benserade)|Cléopâtre]]'', acte IV, scène 2}}