« mortification » : différence entre les versions

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#* ''La gangrène est une '''mortification''' des chairs, la nécrose une '''mortification''' des os.''
# {{cuisine|fr}} Action de [[garder]] [[certain]]es [[viande]]s pour qu’elles deviennent [[tendre]]s et [[gagner|gagnent]] du [[fumet]].
# Action par [[laquelle]] on [[mortifier|mortifie]] son [[corps]], ou ses [[passion]]s.'
#* ''La '''mortification''' de la chair, des sens. Le jeûne est une '''mortification'''.'
#* ''Des '''mortifications''', des jeûnes les purifient. Ni froment, ni huile..'' {{source|{{w|Émile Zola}}, ''{{w|Le Rêve}}'', 1888}}'
#* ''Elle essaya, par '''mortification''', de rester tout un jour sans manger.'' {{source|{{w|Gustave Flaubert}}, ''{{w|Madame Bovary}}'', 1857}}
# ''(Religion)''{{part}} {{religion|fr}} [[pratique|Pratique]] d'[[ascèse]] religieuse consistant à s'imposer une souffrance, en général physique, pour progresser dans le domainebut de progresser spirituelspirituellement.
# [[accident|Accidents]] [[fâcheux]] qui [[arriver|arrivent]] dans la [[vie]].
#* ''Les maladies sont des '''mortifications''' que Dieu nous envoie.''
# {{figuré|fr}} [[chagrin|Chagrin]], [[humiliation]] qu’on fait [[éprouver]] à une [[personne]] par [[quelque]] [[réprimande]] ou par quelque [[procédé]] [[dur]] et [[fâcheux]].
#* ''Non ; la grande et l’unique cause de l’expédition de Crimée, qui a coûté à la France 100 000 hommes et trois empreints de 500 millions chacun, a été la '''mortification''' vivement ressentie par le nouvel empereur des Français de n’avoir pas été appelé par l’empereur de Russie : « Mon bon frère ».'' {{source|{{w|Émile de Girardin}}, en préface de ''Le dossier de la Guerre de 1870'', 23 septembre 1877}}
# ''(Religion)'' Pratique d'ascèse religieuse consistant à s'imposer une souffrance, en général physique, pour progresser dans le domaine spirituel.
 
==== {{S|antonymes}} ====