« in-folio » : différence entre les versions

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#* ''Volume '''in-folio'''.''
#* ''Manuscrit, dictionnaire '''in-folio'''.''
#* ''« On a beau faire pour garantir l'innocence d'une jeune fille, entassez gouvernantes, murs de clôture, '''in-folio''' édifiants, voire curés et capucins, le démon subtil de l'Amour est partout, s'infiltre en tout lieu ; et, à s'acharner à détourner de lui nos enfants, on perd son temps et sa peine ; autant leur dire : jusqu'à vingt ans, mes petits, bouchez-vous les yeux à l’aide de vos deux poings ; il ne faut pas connaître la lumière ! »'' {{source|{{w|René Boylesve}}, ''{{w|La leçon d’amour dans un parc}}'', Calmann-Lévy, 1920, collection Le Livre de Poche, page 162}}
#* ''On n’indique généralement pas le prix des ouvrages importés, mais on spécifie le format du volume : '''in-folio''', in-quarto, in-octavo —format le plus répandu—, in-duodecimo, etc. L’in-folio est généralement réservé aux journaux et aux livres de grande taille ; l’in-quarto, à partir du {{pc|XVII}}{{e}} siècle, est considéré comme le format « littéraire ». Cependant, l’in-octavo et l’in-duodecimo semblent être les préférés des éditeurs européens parce que leur production est économique, surtout tenu compte de la pénurie de papier ''[de l’époque]'', et qu’ils sont faciles à transporter et à manier. On ne rencontre à peu près pas d’annonces de tout petits formats (in-seize, in-dix-huit, in-vingt-quatre).'' {{source|Maurice Lemire, Aurélien Boivin, ''La Vie littéraire au Québec'', 1991}}