« tranquillité » : différence entre les versions
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'''tranquillité''' {{pron|tʁɑ̃.ki.li.te|fr}} {{f}}
# [[état|État]] de ce qui est [[tranquille]], sans [[agitation]].
#* ''La charrette s'arrêtait au bord de la '''gaure'''. C'était un petit bras de la Garonne, fermé d'un bout, comblé par la vase au temps de la sécheresse estivale, et communiquant, de l'autre, avec le fleuve dont les derniers remous, largement étalés, venaient mourir là, dans la '''tranquillité''' de l'eau morte.'' {{source|{{w|Émile Pouvillon}}, ''Pays et paysages'', Paris : chez Plon & Nourrit, 1895, p. 54}}
#* ''L’administration romaine était extrêmement dure pour tout homme qui lui semblait susceptible de troubler la '''tranquillité''' publique […].'' {{source|{{w|Georges Sorel}}, ''Réflexions sur la violence'', Chap. VI, ''La moralité de la violence'', 1908, p. 260}}
#* ''Les bailleurs doivent la '''tranquillité''' aux locataires.'' {{source|Charles Romieux, Raphaël Girard, ''Logement social et traitement de l’insécurité'', 2007}}
#* ''Léon ayant regagné l'Alsace pour quelque temps, ils jouissaient tous deux d'une parfaite '''tranquillité'''. Ils lantiponnaient sur tout et sur rien.'' {{source|Jean-Gabriel Gobin, ''La cougar'', BoD/Books on Demand, 2016, chap. 10/p. 113}}
#* {{figuré|fr}} — ''Le fils d’Alcide le flotteur a seulement désiré sa liberté, son temps rien qu’à lui pour étudier, sa '''tranquillité''' d’aller et de venir, comme bon lui semble, où il veut, […].'' {{source|{{Citation/Jean Rogissart/Passantes d’Octobre/1958|}}}}
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