« mal de mer » : différence entre les versions

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Traductions : +vietnamien : say sóng (assisté)
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'''mal de mer''' {{pron|mal də mɛʁ|fr}} {{m}} {{au singulier uniquement|fr}}
# {{marine|fr}} {{médecine|fr}} [[nausée|Nausée]] qui [[apparaître|apparaît]] lors d’un déplacement en [[bateau]].
#* ''Je me figurerai que j’habite la cabine d’un bâtiment qui donne la bande, et, du moment que votre maison ne tangue ni ne roule, je n’ai rien à craindre du '''mal de mer''' !'' {{source|{{Citation/Jules Verne/Le Pays des fourrures/1873}}}}
#* ''[…] lorsque quelques soulèvemens d’estomac m’avertirent que je ne tarderais pas à payer mon tribut. Bientôt il me fallut descendre dans la cabine, et pendant près de trois heures je me trouvai en proie à toutes les horreurs du '''mal de mer'''.'' {{source|{{nom w pc|Jean Louis Armand de|Quatrefages de Bréau}}, ''[[s:Souvenirs d’un Naturaliste/01|L’Archipel de Chausey, souvenirs d’un Naturaliste]]'', ''{{w|Revue des Deux Mondes}}'', tome 30, 1842}}
#* ''on entre dans l’Océan ; la lame s’allonge en volutes irrégulières, les eaux changent de couleur, et les visages aussi. Les prédestinés à cette étrange maladie que l’on nomme le '''mal de mer''' commencent à rechercher les angles solitaires et s’accoudent mélancoliquement sur le bastingage.'' {{source|{{w|Théophile Gautier}}, ''{{ws|Voyage en Espagne/XV|Voyage en Espagne}}'', Charpentier, 1859}}
#* ''Je me figurerai que j’habite la cabine d’un bâtiment qui donne la bande, et, du moment que votre maison ne tangue ni ne roule, je n’ai rien à craindre du '''mal de mer''' !'' {{source|{{Citation/Jules Verne/Le Pays des fourrures/1873}}}}
#* ''La nuit a été agitée […]. Suivant une expression empruntée au vocabulaire de la marine moderne — les sous-marins — les affligés du '''mal de mer''' « ont fait surface ».'' {{source|{{w|Jean-Baptiste Charcot}}, ''Dans la mer du Groenland'', 1928}}
#* ''Ce n'était plus de l'équitation mais du transport. On leur éduquait des haquenées qui allaient l’amble dans un curieux roulis dont on se demande aujourd'hui comment ces braves dames n'avaient pas, au bout d'une demi-heure, les plus affreux '''maux de mer'''.'' {{source|Jean La Varende, ''Le Cheval Roi'', Éditions Actes Sud Nature, 2009}}