« coquetterie » : différence entre les versions

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'''coquetterie''' {{pron|kɔ.kɛt.ʁi|fr}} {{f}}
# [[désir|Désir]] de [[plaire]], d’[[attirer]], d’[[engager]]. — {{note}} Il se dit surtout en parlant des [[femme]]s.
#* ''Elle avait tenu, par '''coquetterie''' d’intendante , à lui faire visiter toute l'installation vinicole, depuis le hangar où se réparaient les fûts jusqu'aux caves où les crus de réserve hérissaient leurs milliers de bouteilles.'' {{source|{{w|Victor Margueritte}}, ''Un cœur farouche'', Paris : Ernest Flammarion, 1921 p.page 169}}
#* ''Zariffa, dès sa dixième année, exerçait à l’égard de son jeune compagnon, sa '''coquetterie''' naissante.'' {{source|{{w|Out-el-Kouloub}}, ''Zariffa'', dans ''Trois contes de l’Amour et de la Mort'', 1940}}
# [[manière|Manières]], [[parole]]s employées à [[dessein]] de plaire, soit que l’on [[éprouver|éprouve]] ou non le [[sentiment]] que l’on [[vouloir|veut]] [[inspirer]].
#* ''Il est, mon ami, quelque chose de plus beau que ces fleurs de la '''coquetterie''' parisienne, […].'' {{source|{{Citation/Honoré de Balzac/Modeste Mignon/1855}}}}
#* ''Au tournant de la haie, à une centaine de pas en arrière, Violette était arrêtée devant Michel et, la tête penchée, faisait des '''coquetteries'''.'' {{source|{{w|Ernest Pérochon}}, ''{{ws|Nêne/Texte entier|Nêne}}'', 1920}}
#* ''Elle découvre des gestes de '''coquetterie''' qui, comme les gestes de pudeur, revêtent une sorte de beauté austère d’être accomplis dans la solitude.'' {{source|{{Citation/Henri Barbusse/L’Enfer/1925}}}}
# {{par ext}} [[moyen|Moyens]] qu’une personne emploie pour faire [[valoir]] ses [[avantage]]s en quelque [[genre]] que ce soit.