collybie beurrée
Français modifier
Étymologie modifier
- (Siècle à préciser) De collybie et beurrée car quand on touche le chapeau (notamment son centre ou mamelon), il donne l'impression d'être enduit d'un mucus qui évoque le beurre ou le savon.
Locution nominale modifier
Singulier | Pluriel |
---|---|
collybie beurrée | collybies beurrées |
\kɔ.li.bi bœ.ʁe\ |
collybie beurrée \kɔ.li.bi bœ.ʁe\ féminin
- (Mycologie) Espèce de champignons à lames échancrées, sans anneau, au chapeau beurré habituellement brun rouge.
La collybie beurrée est comestible sans intérêt.
Notes modifier
- Peut être utilisé avec une majuscule (Collybie beurrée) pour mettre en avant le fait qu’on donne un caractère générique au mot.
- Il va de soi qu’un simple article de dictionnaire n’est pas suffisant pour déterminer l’espèce et l'utilisation d’un champignon et prendre le risque de le consommer.
Synonymes modifier
Traductions modifier
- Conventions internationales : Rhodocollybia butyracea (wikispecies), Collybia butyracea (wikispecies)
- Allemand : Butter-Rübling (de) masculin Kastanienroter Rübling (de) masculin
- Anglais : buttery collybia (en), butter cap mushroom (en)
- Finnois : valkoviirujuurekas (fi)
- Hongrois : bunkóslábú fülőke (hu)
- Lituanien : sviestinė plempė (lt)
- Polonais : monetnica maślana (pl)
- Russe : коллибия масляная (ru) kollibija masljanaja
- Suédois : mörk nagelskivling (sv)
- Ukrainien : колібія масляна (uk) kolibija masljana
Hyperonymes modifier
(simplifié)
- champignons (Fungi)
- basidiomycètes
- marasmiacées (Marasmiaceae)
- basidiomycètes
Prononciation modifier
- Somain (France) : écouter « collybie beurrée [Prononciation ?] »
Voir aussi modifier
- Rhodocollybia butyracea sur l’encyclopédie Wikipédia
Références modifier
- C. Meyer, ed. sc., Dictionnaire des Sciences Animales. [On line]. Montpellier, France, Cirad. [10/2013]. <URL : http://dico-sciences-animales.cirad.fr/> article : collybies
- « Collybie butyracée », dans Cécile Lemoine et Georges Claustres, Mieux connaître les champignons, Éditions Jean-Paul Gisserot, Paris, 1995, page 33 → consulter cet ouvrage