locature
Français modifier
Étymologie modifier
- Du latin locare (« louer »).
Nom commun modifier
| Singulier | Pluriel |
|---|---|
| locature | locatures |
| \lɔ.ka.tyʁ\ | |
locature \lɔ.ka.tyʁ\ féminin
- (Vaucluse) Terrain sans bâtiments que l’on loue.
- Dans l’arrondissement d’Avignon, là où le sol est fertile et arrosable, on trouve de nombreuses locatures n’ayant pas de bâtiments et qui comprennent seulement 3, 8, 15 et 25 hectares. — (Les Primes d’honneur, Paris, 1873, page 537)
- (Centre) Petite ferme avec peu de terre, mise en location.
- Propriété du Bouchet (Cher) comprenant : réserves, domaine, trois métairies, quatre locatures. — (Gazette des Tribunaux 20 sept. 1874, page 897, aux annonces)
Dans le courant de l’année, j’appris qu’une locature était vacante à Bourbon, tout près de la ville, en bordure des Craux.
— (Émile Guillaumin, La vie d’un simple, 1904, page 113)Il cherche une locature plus grande pour s’installer et créer une famille.
— (Jean-Pierre Muller, Chronique des années cinquante dans l’Indre : les Américains à Châteauroux-Déols, 2010)
Variantes modifier
Traductions modifier
Anagrammes modifier
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Références modifier
Tout ou partie de cet article est extrait du Dictionnaire de la langue française, par Émile Littré (1872-1877), mais l’article a pu être modifié depuis. (locature)