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Les garçons partaient à dix ou vingt, cernaient un coin de la brousse, tiraient ou tapaient sur tout ce qui fuyait, mulots, oisillons, une lourde pintade bleue parfois, ou une biche naine, promesses d’un festin entre les racines géantes d’un doubalé ou sur le sable du marigot, dans les disputes et les rires.— (Claude Vermorel, Yao, 1982)