qu’es aco
Étymologie
modifierLocution interjective
modifierqu’es aco \ke.za.ko\
- (Par plaisanterie) Qu’est-ce que c’est ?
Un coup de cafard ! — Qu’es aco ? Ma sollicitude soudaine n’a rien de joué.
— (Roger Borniche, Le ricain, 1979, Grasset et Fasquelle)— Dis donc, mon garçon, soit poli. Veux-u que l'appelle « lou peilharot », le menaça mémé Maguy en riant.
— (Hélène Plana-Fabre, La Secado, tome 1: La Sécheresse, Éditions Edilivre, 2016)
— Qu’es aco ? s'étonna Rémy.
— Qu’es aco, qu’es aco ? C'est tout ce que vous savez dire, vous, les parisiens.
Variantes
modifier- Ce mot a de nombreuses variantes, dont quatre recommandées par l’Académie française[1] :
- D’autres variantes sont décrites dans les dictionnaires contemporains :
- D’autres, souvent récentes et étonnantes (suivant en cela le sens du mot) sont assez fréquentes[6] relativement aux autres formes :
Prononciation
modifier- France (Lyon) : écouter « qu’es aco [Prononciation ?] »
- France (Vosges) : écouter « qu’es aco [Prononciation ?] »
Anagrammes
modifier→ Modifier la liste d’anagrammes
Références
modifier- ↑ Dictionnaire de l’Académie française, neuvième édition, 1992–2024 → consulter cet ouvrage
- ↑ « qu’èsaquo », Larousse.fr, Éditions Larousse
- ↑ a et b « quésaco », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage
- ↑ a et b Grand Robert, 2001
- ↑ Reverso (dictionnaire.reverso.net), Synapse, Softissimo, 2007 → consulter cet ouvrage (quez%20aco)
- ↑ Voir la page de discussion de l’article quésaco
- « qu’es aco », dans Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, 1872–1877 → consulter cet ouvrage