Français modifier

Étymologie modifier

(1832) De l’anglais seybertite. Bien que découverte en 1828 par le géologue britannique John Finch et les géologues américains William Williams Mather et William Horton Jr. et nommée clintonite d’après DeWitt Clinton, alors gouverneur de l’État de New York, ils ne publièrent pas tout de suite. Finch annonça le minéral en 1829 sous le nom de bronzite. C’est Thomas G. Clemson qui la nomma seybertite d’après l’analyste américain Henry Seybert[1].

Nom commun modifier

Singulier Pluriel
seybertite seybertites
\sɛ.bɛʁ.tit\

seybertite \sɛ.bɛʁ.tit\ féminin

  1. (Minéralogie) Silicate d’alumine, de magnésie et de fer, originaire d’Amity dans l’État de New-York.
    • La seybertite est en grandes lames, d’un beau rouge, qui se présentent avec une certaine transparence, lorsque l’épaisseur en est très-faible ; ces lames sont disséminées dans une roche composée de chaux carbonatée, d’amphibole, de graphite et de spinelle noir ; elle se laisse rayer par une pointe d’acier ; possède deux clivages dont l’un est très-facile, et l’autre très-peu distinct. — (Armand Dufrénoy, Traité de minéralogie, tome 3, Carilian-Goeury et Vor Dalmont, Paris, 1847, p. 519)

Vocabulaire apparenté par le sens modifier

Traductions modifier

Références modifier

Anglais modifier

Étymologie modifier

Dérivé de Seybert, avec le suffixe -ite.

Nom commun modifier

Singulier Pluriel
seybertite
\Prononciation ?\
seybertites
\Prononciation ?\

seybertite \Prononciation ?\

  1. (Minéralogie) Seybertite.
    • The minerals seybertite, brandisite, and xanthophyllite belong to the clintonite family of brittle micas. They are complex calcium magnesium aluminosilicates. — (Joseph William Mellor, A Comprehensive Treatise on Inorganic and Theoretical Chemistry, 1947)