Voir aussi : ekebergite

Étymologie

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(1815) Nommée par Jöns Jacob Berzélius[1][2] en l’honneur du chimiste suédois Anders Gustaf Ekeberg, qui en avait fait la première description en 1807 [3] (sous le nom de natrolite), d’après des échantillons en provenance de la mine de fer de Hesselkulla en Suède. D’après Chester[4], elle aurait plutôt été nommée par Johann Nepomuk von Fuchs[5] en 1818.

Nom commun

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Singulier Pluriel
ékebergite ékebergites
\e.kə.bɛʁ.ʒit\

ékebergite \e.kə.bɛʁ.ʒit\ féminin

  1. (Minéralogie) Silicate d’aluminium et de calcium, proche de la wernérite.
    • On peut rapporter à cette sorte l’athériastite, la nuttalite, l’ékebergite, la barsowite et peut-être la gabbronite. — (Alexandre Leymerie, Cours de minéralogie (histoire naturelle), 1857)

Hyperonymes

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Vocabulaire apparenté par le sens

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Variétés d’ékerbergite

Traductions

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Références

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  1. Jöns Jacob Berzélius, "Försök till ett rent kemiskt mineral system", in Afhandlingar i fysik, kemi och mineralogi, volume 4, 1815, page 1-147
  2. Thomas Thomson, "Account of the Improvements in Physical Science During the Year 1816", in Annals of Philosophy, Or, Magazine of Chemistry, Mineralogy, Mechanics, Natural History, Agriculture, and the Arts, volume IX, numéro XLIX, janvier 1817, p. 1–88 montre un résumé de la publication de Berzélius incluant "ekbergite" en page 68
  3. Anders Gustaf Ekeberg, "Undersökning af ett natronhaltigt fossil ifrån Hesselkulla", in Afhandlingar I fysik, kemi och mineralogi, volume 2, 1807, pages 144–153
  4. Albert Huntington Chester, A Dictionary of the Names of Minerals, John Wiley & Sons, New York, 1896, page 82
  5. Johann Nepomuk von Fuchs, "Über die Entstehung der Porzellanerde", in Denkschriften der Königlich-Baierische Akademie der Wissenschaften zu München 1818–1820, volume VII, 1820, pages 65–88 (1818)
  • Dictionnaire encyclopédique Quillet, Paris, 1934