Discussion:langue-toit

Dernier commentaire : il y a 11 ans par ArséniureDeGallium dans le sujet Pluriel

Bjour

L'exemple de l'allemand me semble maladroit. Cela décrit la situation d'il y a un siècle. Aujourd'hui, une immense partie des Allemands ne parlent que Hochdeutsch ou un Hochdeutsch prononcé avec un accent local, et non pas un dialecte. Dhegiha 20 février 2012 à 14:30 (UTC)Répondre

Croyez-moi, il y a des tas de dialectes allemands incompréhensibles, surtout dans l'extrême Nord et une grande partie du Sud.--Morphypnos [Un petit roupillon ?]. 22 février 2012 à 13:39 (UTC)Répondre
Bien sûr, je ne te contredis pas sur ce point, mais ce n'est pas ce que je dis. Je dis que beaucoup d'Allemands aujourd'hui ne parlent plus les dialectes. Ne serait-ce que le 1/4 de la population d'origine ostdeutsch (Silésiens, Prussiens, Sudètes, etc..) : les descendants nés en Allemagne ne parlent souvent que le Hochdeutsch. Et dans beaucoup de régions le dialecte a disparu ou presque.. Dhegiha 22 février 2012 à 13:52 (UTC)Répondre
Je ne suis pas vraiment d'accord… c'est bien autre que du hochdeutsch, et c'est plus répandu que ça. Mais je vais modifier mon exemple en conséquence.--Morphypnos [Un petit roupillon ?]. 23 février 2012 à 08:58 (UTC)Répondre

Concept vague modifier

Je ne comprends pas bien ce concept de « Langue servant de langue standard pour différents dialectes dans un continuum dialectal ». Quelle est la différence avec une koinè ? — Actarus (Prince d'Euphor) 20 février 2012 à 15:14 (UTC)Répondre

(Désolé pour le retard) C'est un peu le même principe mais le terme langue-toit pourrait désigner une langue hellénique, germanique, romane, etc. Si tu veux, la langue-toit est une langue passe partout. C'est comme si on parlait entre tous les pays l'anglais pour se comprendre, sauf que cet anglais là a la même origine que les dialectes auxquels il sert de pont. Joachim du Bellay écrivait ses vers en latin car l'« Italie » de l'époque comprenait de nombreux dialectes. Le latin était la langue passe-partout. Le catalan est la langue-toit de l'Espagne qui comprend des tas de dialectes. Ou le chinois mandarin est la langue-toit, la langue passe-partout en chine qui comprend de nombreux dialectes. Est-ce clair ou veux-tu que je cherche une meilleure définition ?--Morphypnos [Un petit roupillon ?]. 22 février 2012 à 13:39 (UTC)Répondre
Je suppose que tu veux dire : le castillan. --GaAs 23 février 2012 à 09:02 (UTC)Répondre
Par ailleurs, voir koinè (2) : moi aussi ça me parait synonyme. --GaAs 23 février 2012 à 09:04 (UTC)Répondre
J'ajoute donc.--Morphypnos [Un petit roupillon ?]. 23 février 2012 à 09:04 (UTC)Répondre
Il y a peut-être une nuance, koinè (2) renvoie à lingua franca (2), qui n’implique pas que les langues principales des locuteurs soient des dialectes de la langue commune. Il est vrai que c’est le cas de l’Espagne que tu cites en exemple (eg le catalan et le basque ne sont pas des dialectes du castillan). --GaAs 23 février 2012 à 09:10 (UTC)Répondre
oui, moi aussi, j'ai tiqué sur catalan... Je trouve toujours qu'il est malaisé d'établir une bonne nuance entre langue-toit et koinè. Pas besoin de chercher loin : un magnifique exemple de ce qu'est une koinè et sans doute une langue-toit, c'est... le français... — Actarus (Prince d'Euphor) 23 février 2012 à 09:39 (UTC)Répondre
Mmmm… non. Il faut prendre l'exemple typique du hochdeutsch. Regardez ça.--Morphypnos [Un petit roupillon ?]. 23 février 2012 à 09:44 (UTC)Répondre

Pluriel modifier

Après qques hésitations, je pense que langues-toit (avec les langues au pluriel, mais pas le toit) est le seul pluriel valide. Mais pour être honnête, il y a tellement peu d’attestations que je ne suis pas sûr de moi. --GaAs 6 novembre 2012 à 18:08 (UTC)Répondre

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