Français modifier

Étymologie modifier

(Siècle à préciser) Du latin aquila (« aigle ») et alba (« blanche ») : « C’est une matière blanche qui imite, par sa sublimation, le vol de l’aigle. Quoique ce mot puisse convenir à tous les sublimés blancs, il se dit particulièrement du mercure sublimé doux[1] ».

Nom commun modifier

aquila-alba \a.ki.la.al.ba\ féminin

  1. (Chimie) (Désuet) Ancien nom pour le chlorure de mercure II ou pour le chlorure de mercure I.
    • Pour confirmer cette théorie, M. Berthollet fait voir que les différents degrés de causticité des sels marins mercuriels ne dépendent pas de la différente proportion d'acide qu'ils contiennent ; qu'à proportion égale d'acide, on peut obtenir le mercure ou dans l'état doux ou dans celui corrosif, selon que le mercure est plus ou moins déphlogistiqué, ce qui lui donne lieu de distinguer deux sortes d'aquila alba, l'aquila alba ordinaire et l'aquila alba corrosive. — (Antoine Laurent Lavoisier, Rapport sur la causticité des sels métalliques, 1868))

Synonymes modifier

"aquila alba corrosive"

Synonymes modifier

"aquila alba ordinaire"


Traductions modifier

Prononciation modifier

Références modifier