enclore
FrançaisModifier
ÉtymologieModifier
Verbe Modifier
enclore \ɑ̃.klɔʁ\ transitif 3e groupe (voir la conjugaison) (pronominal : s’enclore)
- Entourer d'une clôture, enfermer, placer à l'intérieur d'une enceinte close.
- Ainsi fut surprise et enclose dans un filet à maille de fer la coupable Aphrodite chez le dieu des batailles. — (Pierre Louÿs, Les aventures du roi Pausole, 1901)
- Clore de murailles, de haies, de fossés, etc.
- Je vous dis qu’ils ont enclos un espace de plus de quinze cents mètres de côté, avec des ronces artificielles et des fils de fer barbelés, jusqu’à trois mètres de hauteur… — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 24 de l’éd. de 1921)
- (Pronominal) Entourer ses biens, sa maison, sa ville, de clôtures, des murailles, de fortifications.
- Tout propriétaire a le droit de s’enclore.
TraductionsModifier
PrononciationModifier
- France (Lyon) : écouter « enclore [Prononciation ?] »
- France (Toulouse) : écouter « enclore [Prononciation ?] »
- France (Lyon) : écouter « enclore [Prononciation ?] »
- Canada (Shawinigan) : écouter « enclore [Prononciation ?] »
RéférencesModifier
Ancien françaisModifier
ÉtymologieModifier
Verbe Modifier
enclore \Prononciation ?\
- Enclore.
- la tente que est en l’ulcere enclot la porreture — (H. de Mondeville, Chirurgie, page 81, 1re colonne)
Dérivés dans d’autres languesModifier
RéférencesModifier
- Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IXe au XVe siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage