mieux vaut une petite qui frétille qu’une grosse qui roupille

Français modifier

Étymologie modifier

Origine populaire.

Locution-phrase modifier

mieux vaut une petite qui frétille qu’une grosse qui roupille \mjø vo yn pə.tit ki fʁe.tij k‿yn gʁos ki ʁu.pij\

  1. (Populaire) (Ironique) En manière de sexualité, le savoir-faire est bien préférable à la taille de l'organe copulateur.
    • Loin-du-Ciel déglutit. Ça devait faire une éternité qu'on ne l'avait pas charrié comme ça sur sa taille.
      Mieux vaut une petite qui frétille qu'une grosse qui roupille, chère madame, fit-il très obséquieusement en faisant un délicat baisemain à Mamouna.
      — (Xavier-Laurent Petit, Passage de la Main d'Or, Paris : Criterion, 2012, page 157)
    • Comme dit l'adage, « mieux vaut une petite qui frétille qu’une grosse qui roupille » : d'ailleurs, avoir un petit pénis n’est pas source de honte pour Nick Girolnan. Ce New-Yorkais de 27 ans est l’heureux détenteur du (peu convoité ?) titre de « plus petit pénis 2013 », décerné le 20 juillet dans un bar de Brooklyn. — (Victoria Houssay, Concours du plus petit pénis : le gagnant est fier de son titre, sur le site TerraFemina (www.terrafemina.com), 23 juillet 2013)

Variantes modifier

Traductions modifier

Prononciation modifier

  • France (Vosges) : écouter « mieux vaut une petite qui frétille qu’une grosse qui roupille [Prononciation ?] »