prendre fin
Étymologie
modifierLocution verbale
modifierprendre fin \pʁɑ̃.dʁə fɛ̃\ intransitif (se conjugue → voir la conjugaison de prendre)
- Se terminer, être à son extrémité, en parlant d’une chose.
Le bavardage continue incessant et ne prendra fin que lorsque sonnera l’heure du repas : il faudra alors à regret rentrer chez soi, mais on recommencera le lendemain et toujours on trouvera matière à commérages !
— (Gustave Fraipont, Les Vosges, 1895, éd. 1923)Commencée le 14 octobre 1877, la deuxième législature prend constitutionnellement fin le 13 octobre 1881. On n'envisage donc pas les élections générales avant l’automne.
— (Alexandre Zévaès, Histoire de la Troisième République 1870 à 1926, Éditions Georges-Anquetil, 1926, p.199)Au moment où prenaient fin les principaux affrontements de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis, sur le plan militaire, s'étaient substitués dans le monde entier à la plupart des autres puissances capitalistes.
— (Armando Uribe, Le livre noir de l’intervention américaine au Chili, traduction de Karine Berriot & Françoise Campo, Seuil, 1974)Toute chose doit prendre fin un jour. Autrement, rien ne commencerait jamais.
— (Doctor Who)
Synonymes
modifierTraductions
modifier- Allemand : aufhören (de)
- Anglais : to reach an end (en)
- Finnois : sammua (fi), loppua (fi)
- Grec : καταλήγω (el) katalígo
- Kazakh : біту (kk) bitüw
- Plautdietsch : to Enj komen (*)
- Roumain : se termina (ro)
- Same du Nord : nohkat (*), loahppat (*), loahpahuvvot (*)
- Suédois : ta slut (sv)
- Swahili : kuvunjika (sw), kuisha (sw)
Prononciation
modifier- France (Lyon) : écouter « prendre fin [Prononciation ?] »
- France (Lyon) : écouter « prendre fin [Prononciation ?] »