Discussion:procrastination

Dernier commentaire : il y a 9 ans par Vive la Rosière dans le sujet Contraire

Littéraire? modifier

J'ai enlevé la mention « littéraire », car ce mot me semble assez courant. Mais il l'est peut-être plus au Québec qu'en France? Il faudrait voir les perceptions de chacun. Nepas ledire 12 janvier 2007 à 18:14 (UTC)Répondre

J'ai 19 ans et je connais ce mot...mais je fais des études de lettres donc je ne suis surement pas représentatif. Tout ce que je peux dire c'est qu'il n'est pas employé dans le langage courant et que je le connais parce que c'est un de mes attributs :^p. Eölen (discuter) 12 janvier 2007 à 18:16 (UTC)Répondre
J’ai du lire la définition pour le comprendre... mais tu as bien fait. Sa propre expérience fait foi pour "élargir" un registre d'emploi. L'inverse est plus délicat : Mettre un (Désuet) ou un {{vx}} est toujours arbitraire. Stephane8888 12 janvier 2007 à 18:22 (UTC)Répondre

Contraire modifier

Bonjour, j'aimerais savoir s'il existe un mot désignant le contraire de la procrastination. FDN (discussion) 26 octobre 2014 à 00:21 (UTC)Répondre

Bonjour, je ne trouve rien de mieux que diligence, au sens littéraire. — Automatik (discussion) 26 octobre 2014 à 01:25 (UTC)Répondre
Pour ma part je dirais l’initiative, la résolution et la détermination mais c’est vrai qu’un mot qui réunirait les 3 en même temps, non, je ne vois pas. C’est plus une question qui aurait ça place sur la page Wiktionnaire:Questions sur les mots, où il y a plus de passage de contributeurs et donc plus de chance d’obtenir une réponse satisfaisante. V!v£ l@ Rosière /Murmurer…/ 2 novembre 2014 à 04:48 (UTC)Répondre

Autres citations modifier

    • Peut-être l’habitude que j’avais prise de garder au fond de moi certains désirs, désir d’une jeune fille du monde comme celles que je voyais passer de ma fenêtre suivies de leur institutrice, et plus particulièrement de celle dont m’avait parlé Saint-Loup, qui allait dans les maisons de passe, désir de belles femmes de chambre, et particulièrement celle de Mme Putbus, désir d’aller à la campagne au début du printemps revoir des aubépines, des pommiers en fleurs, des tempêtes, désir de Venise, désir de me mettre au travail, désir de mener la vie de tout le monde, peut-être l’habitude de conserver en moi sans assouvissement tous ces désirs, en me contentant de la promesse faite à moi-même, de ne pas oublier de les satisfaire un jour, peut-être cette habitude, vieille de tant d’années, de l’ajournement perpétuel, de ce que M. de Charlus flétrissait sous le nom de procrastination, était-elle devenue si générale en moi qu’elle s’emparait aussi de mes soupçons jaloux et, tout en me faisant prendre mentalement note que je ne manquerais pas un jour d’avoir une explication avec Albertine au sujet de la jeune fille (peut-être des jeunes filles, cette partie du récit était confuse, effacée, autant dire indéchiffrable, dans ma mémoire), avec laquelle — ou lesquelles — Aimé l’avait rencontrée, me faisait retarder cette explication. — (Marcel Proust, La Prisonnière, in À la recherche du temps perdu, t. III, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1988, page 594)
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