autorisable

Français

(XVII^e siècle) De l’ancien français autorisable Dérivé de autoriser, avec le suffixe -able.

autorisable \o.tɔ.ʁi.zabl\

Qui peut être autorisé.
- Par les Loix de l'Etat & de l'Eglise, qui ont autorisé l’intérêt légal, qui ne seroit point autorisable, s’il étoit en opposition avec le droit naturel. (sic) — (Anne Robert Jacques Turgot, Théorie de l’intérêt de l’argent, Barrois l’aîné, 1782, page 366)

Tout ou partie de cet article est extrait du Dictionnaire de la langue française, par Émile Littré (1872-1877), mais l’article a pu être modifié depuis. (autorisable)

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autorisable \Prononciation ?\

Digne d’honneur, considérable, digne d’être approuvé.
- Fait justice véritable par conseil auctorisable. — (Guilloche, Proph. de charles VIII, La Grange, page 16)
  La traduction en français de l’exemple manque. (Ajouter)

Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IX^e au XV^e siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage