Étymologie

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De lecture, avec le suffixe -er.

lecturer \lɛk.ty.ʁe\ transitif ou intransitif 1er groupe (voir la conjugaison)

  1. Définition manquante ou à compléter. (Ajouter)
    • On n’y suit pas, par exemple, l’édit de 1694 , qui interdit aux tabellions seigneuriaux le droit de lecturer les contrats. — (Jean Baptiste Denisart, Collection de décisions nouvelles et de notions relatives à la jurisprudence, 1789)
    • Le second est des notaires d’Evreux, qui certifient que lorsqu’on leur a présenté des contrats sur du papier d’une autre généralité que celle de leur résidence pour en faire la lecture, ils ont souvent fait des actes séparés sur des papiers de la généralité de leur résidence, lesquels ils ont attachés aux grosses des contrats, ce qui est arrivé, quand les parties les trouvant sur les lieux, leur ont apporté des contrats à lecturer ; — (Henri Cochin, Œuvres complètes, volume 8, 1822)
  2. (Canada) Donner un cours ou une conférence.
    • Viendriez-vous en droite ligne de Paris pour lecturer dans nos grandes villes — voire même dans une salle universitaire ; — (La Nouvelle-France, volume 4, 1905)
    • Document (Liste de personnes invitées à lecturer sous le patronage de l’Institut canadien) — (site www.patrimoine-culturel.gouv.qc.ca)

Prononciation

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Étymologie

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De lecture, avec le suffixe -er

Nom commun

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Singulier Pluriel
lecturer
\ˈlɛk.tʃərəɹ\
lecturers
\ˈlɛk.tʃərəɹz\

lecturer \ˈlɛk.tʃərəɹ\

  1. Conférencier.
  2. (Éducation) Assistant (junior lecturer), maître de conférence (senior lecturer), lecteur.
  3. (Religion) (Désuet) Lecteur, vicaire.

Prononciation

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