Étymologie

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(c. 1865) De l’anglais mercerize[1], du nom de John Mercer, inventeur britannique de la technique du mercerisage (ou mercerisation) en 1844.

merceriser \mɛʁ.sə.ʁi.ze\ transitif 1er groupe (voir la conjugaison)

  1. (Textile) Traiter à la soude caustique un fil ou une étoffe de coton afin de lui donner un aspect brillant soyeux et d'en améliorer l'affinité tinctoriale ; pratiquer le mercerisage, la mercerisation.
    • Le coton est mercerisé par les procédés ordinaires à la soude caustique. — (D. de Prat, Nouveau manuel complet de filature; première partie: Fibres animales & minérales, Encyclopédie Roret, 1914)
    • Il était intéressant d’étudier un dispositif permettant, après réglage convenable, de merceriser sur un même métier deux types très différents d’écheveaux. — (Revue générale des matières colorantes, du blanchiment, de la teinture, de l'impression et des apprêts, 1909)
    • Procédé pour merceriser et animaliser les matières fibreuses d'ori- gine végétale . Voici pour cet objet un procédé qu'on peut considérer comme le meilleur . — (V. Kletzinsky, notes sur les teintures et les couleurs, in Le technologiste sous la direction de F. Malapeyre, tome 26, éd. Roret, 1865.)

Dérivés

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Apparentés étymologiques

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Traductions

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Prononciation

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Anagrammes

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Références

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