yod
FrançaisModifier
ÉtymologieModifier
- La forme yod est apparue en 1842, la forme précédente était jod apparue, elle, en 1715. L’utilisation du terme yod pour définir une semi-consonne de l’alphabet phonétique international remonte à 1906.
Nom commun Modifier
Singulier | Pluriel |
---|---|
yod | yods |
\jɔd\ |
yod \jɔd\ masculin
- Autre orthographe de youd (י), dixième lettre des alphabets hébreu et phénicien.
- (Linguistique) Semi-consonne palatale (notée \j\ dans l’alphabet phonétique international).
- Le yod peut être transcrit en français par y (« yaourt »), il (« soleil ») ou ille (« maille »).
Variantes orthographiquesModifier
- Lettre de l’hébreu et du phénicien (1) :
DérivésModifier
TraductionsModifier
Traductions manquantes. (Ajouter)
PrononciationModifier
- La prononciation \jɔd\ rime avec les mots qui finissent en \ɔd\.
- France (Nancy) : écouter « yod [jɔd] »
Voir aussiModifier
- Yod (lettre) sur l’encyclopédie Wikipédia
BretonModifier
ÉtymologieModifier
- Du moyen breton yot[1].
- À comparer avec les mots uwd en gallois, yos en cornique, iutta en gaulois (sens identique).
Nom commun Modifier
yod \ˈjoːt\ masculin (pluriel : yodoù)
- Bouillie.
- Te zo sod,
pa nʼanavezez ket
Krampouez diouz yod ! — (Jules Gros, Le trésor du breton parlé (Eléments de Stylistique Trégorroise) - Troisième partie - LE STYLE POPULAIRE, 1974, page 367)- Tu es sot,
puisque tu ne distingues pas
les crêpes de la bouillie !
- Tu es sot,
- Te zo sod,
- (Figuré) échec.
DérivésModifier
RéférencesModifier
- ↑ Jehan Lagadeuc, Catholicon, Tréguier, 1499