Aktivismus

Voir aussi : aktivismus

Allemand

Étymologie

(Fin XIX^e siècle) Nom dérivé de aktiv (« actif »), avec le suffixe -ismus (« -isme »), littéralement « activisme ».

Nom commun

Cas	Singulier
Nominatif	der Aktivismus
Accusatif	den Aktivismus
Génitif	des Aktivismus
Datif	dem Aktivismus

Aktivismus \aktiˈvɪsmʊs\ masculin au singulier uniquement

(Politique) Militantisme, activisme : fort engagement pour une cause.
- Nach der tumultartigen Eröffnung der Nan-Goldin-Ausstellung in Berlin gab es ein Begleitsymposium zu Kunst und Aktivismus. Das verlief so störungs- wie erkenntnisfrei. — (Dirk Peitz, « Treffen der Restinteressierten : Symposium zum Nahostkonflikt », dans Die Zeit, 25. novembre 2024 [texte intégral])
  Suite à l’inauguration tumultueuse de l’exposition de Nan Goldin à Berlin, un symposium satellite sur l’art et le militantisme a eu lieu. Celui-ci s'est déroulé certes sans perturbation, mais n’a pas apporté de nouvelles connaissances non plus.
- Der «Bund» vom 4. April 2024 wirft die Frage auf, ob an den Universitäten noch «Wissenschaft oder schon Aktivismus» betrieben wird. — (Paul Messerli, « Forschende sind geradezu aufgerufen zum «politischen Aktivismus» : Kritik an Universitäten », dans Der Bund, 1 mai 2024 [texte intégral])
  Le Bund du 4 avril 2024 soulève la question de si, dans les universités, on pratique « la science ou plutôt le militantisme ».
(Psychologie, Travail) Activisme : activité élevée, voire frénétique.
- Steuererhöhung? So nennt das in der Regierung selbstverständlich niemand. Aber leider lahmt die Wirtschaft, und irgendwie wollen die großzügigen Ausgaben nach der Wahl finanziert werden. Das hat sich inzwischen auch bei den Franzosen herumgesprochen, die gewahr werden, dass auch "Super-Sarko" trotz seines an den Tag gelegten Aktivismus kein Magier ist. — (Michael Kläsgen, « Staatschef Rastlos : Frankreich », dans Süddeutsche Zeitung, 19 mai 2010 [texte intégral])
  Augmentation d’impôt ? Bien sûr, personne n’utilise ce terme au gouvernement. Mais malheureusement, l’économie est apathique et, d’une manière ou d’une autre, les dépenses généreuses doivent être financées après les élections. Entre-temps, cela s’est su chez les Français également, qui se rendent compte que même « Super-Sarko » n’est pas un magicien, malgré son activisme affiché.