quota
FrançaisModifier
ÉtymologieModifier
Nom commun Modifier
Singulier | Pluriel |
---|---|
quota | quotas |
\kɔ.ta\ ou \kwɔ.ta\ |
quota \kɔ.ta\ ou \kwɔ.ta\ masculin
- Quantité limitée ou réglementaire.
- Les prix de leurs transferts sont ainsi restés en France à des niveaux tout à fait admissibles par rapport à d'autres concurrents européens ayant laissé se développer de libres marchés des quotas ou droits à prime. — (Pierre-Henri Degrégori, « Un point de vue français », dans L'agriculture européenne et les droits à produire, édité par Denis Barthelemy & Jacques David, Paris : INRA, 1999, p. 399)
- Il faut dire que le fabricant a fait très tôt le choix de la délocalisation, dès le début des années 1990, bien avant la fin des quotas textiles en janvier 2005. — (Eminence: Un survivant du sous-vêtement français, dans L’Usine nouvelle, no 3 190, du 29 avril 2010)
- Dans le domaine social et politique, le quota ethnique désigne le nombre de personnes d’une ethnie non-originaire du territoire sur lequel il se trouve. — (Wikipédia, « Quota ethnique »)
- Quotas d’émission de gaz à effet de serre.
Apparentés étymologiquesModifier
TraductionsModifier
Forme de verbe Modifier
Voir la conjugaison du verbe quoter | ||
---|---|---|
Indicatif | ||
Passé simple | ||
il/elle/on quota | ||
quota \kwo.ta\
- Troisième personne du singulier du passé simple de quoter.
AnagrammesModifier
→ Modifier la liste d’anagrammes
Voir aussiModifier
- quota sur l’encyclopédie Wikipédia
RéférencesModifier
- ↑ a et b « quota », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage
Ancien occitanModifier
Nom commun Modifier
quota \Prononciation ?\ féminin
- (Habillement) Variante de cota.
RéférencesModifier
- François Raynouard, Lexique roman ou Dictionnaire de la langue des troubadours, comparée avec les autres langues de l’Europe latine, 1838–1844 → consulter cet ouvrage
AnglaisModifier
ÉtymologieModifier
- (XVIIe siècle) Apparenté à quote, du latin quota, sous-entendant pars[1]. Il avait le sens de « quote-part, part proportionnelle » ; le sens moderne de « limite aux importations, à l’immigration » date de 1921[1].
Nom commun Modifier
Singulier | Pluriel |
---|---|
quota \kwoʊtə\ |
quotas \kwoʊtəz\ |
quota \kwoʊtə\
- Quota.
An import quota is a trade restriction on the quantity of goods imported into a country.
- Un quota d’importation est une limite sur la quantité de produits importés d’un pays donné.
Voir aussiModifier
- quota sur l’encyclopédie Wikipédia (en anglais)
RéférencesModifier
- ↑ a et b (en) Douglas Harper, Online Etymology Dictionary, 2001–2020 → consulter cet ouvrage
ItalienModifier
ÉtymologieModifier
- Du latin quota, sous-entendant pars ; apparenté à quoto[1]. De l’anglais quota pour le sens de « quota, limite ».
Nom commun Modifier
Singulier | Pluriel |
---|---|
quota \ˈkwo.ta\ |
quote \ˈkwo.te\ |
quota \ˈkwo.ta\ féminin
- Cote, écot.
La quota di partecipazione alla gita è di 50 euro.
- Les frais de participation à l’excursion sont de 50 euros.
- Part.
Nel diritto civile, si intende per quota di riserva la quota di eredità che la legge riserva al coniuge della persona della cui successione si tratta.
- En droit civil, on entend par part réservataire, la part de l’héritage qui, etc.
- Quota, limite.
Quota di importazione.
- Quota d’importation.
DérivésModifier
- quota di mercato (« part de marché »)
- quotare
Voir aussiModifier
- quota sur l’encyclopédie Wikipédia (en italien)
RéférencesModifier
- ↑ « quota », dans Treccani, Dictionnaire, encyclopédie et thésaurus italien en ligne → consulter cet ouvrage
NéerlandaisModifier
ÉtymologieModifier
- De l’anglais quota.
Nom commun Modifier
quota \Prononciation ?\ masculin
Taux de reconnaissanceModifier
- En 2013, ce mot était reconnu par[1] :
- 98,4 % des Flamands,
- 96,0 % des Néerlandais.
PrononciationModifier
- Pays-Bas : écouter « quota [Prononciation ?] »
RéférencesModifier
- ↑ Marc Brysbaert, Emmanuel Keuleers, Paweł Mandera et Michael Stevens, Woordenkennis van Nederlanders en Vlamingen anno 2013: Resultaten van het Groot Nationaal Onderzoek Taal, Université de Gand, 15 décembre 2013, 1266 p. → [lire en ligne]