pare-balles

Français modifier

(Date à préciser) Variante de paraballe, dérivé de balle, avec le préfixe pare- (« parer, éviter »).

(*orthographe traditionnelle*)
Invariable
pare-balles \paʁ.bal\

pare-balles \paʁ.bal\ invariable (orthographe traditionnelle)

Qui protège des tirs d’armes légères.
- Comme vous pouvez le constater tout peut arriver à l’occasion d’un championnat d’échecs, et surtout à un Champion universel. Ce n’est pas pour rien qu’une cage de verre pare-balles est en train d’être installée en haut de la tour. — (Rezvani, Fous d’échecs, 1997, p. 47)
- Les gilets pare-balles ont toujours existé. Avant, on appelait cela une cotte de maille ou une armure. En 1914, les soldats des deux camps se confectionnent des plastrons en acier pour se protéger des éclats d’obus comme des balles. — (Philippe Lobjois & ‎Michel Olivier, Ne pas subir : Petit manuel de résistance en temps de guerre terroriste, Fayard, 2016)

(*orthographe rectifiée de 1990*)
Singulier	Pluriel
pare-balle	pare-balles
\paʁ.bal\

pare-balles \paʁ.bal\ (orthographe rectifiée de 1990)

(*orthographe traditionnelle*)
Invariable
pare-balles \paʁ.bal\

pare-balles \paʁ.bal\ masculin invariable (orthographe traditionnelle)

(Militaire) Protection permettant aux servants d’une arme lourde d’être protégés des tirs ennemis.
- Il est bien clair qu’à ce balcon, avec un pare-balles à droite, et sans m’occuper beaucoup des sifflements et claquements, je ne pensais qu’à bien faire mon métier de guetteur. — (Alain, Souvenirs de guerre, p. 70, Hartmann, 1937)
- Le canon est pourvu d’un pare-balles pesant 53 kg. — (Revue d’artillerie, Volume 34, Éditeur Berger-Levrault, 1889)