Allemand modifier

Étymologie modifier

Du vieux haut allemand, apparenté au néerlandais wedden, au danois vædde (« parier »), à l’anglais to wed (« prendre pour époux »), au latin vas, vadis (« caution, garant »).

Verbe modifier

Mode ou
temps
Personne Forme
Présent 1re du sing. ich wette
2e du sing. du wettest
3e du sing. er wettet
Prétérit 1re du sing. ich wettete
Subjonctif II 1re du sing. ich wettete
Impératif 2e du sing. wette!
2e du plur. wettet!
Participe passé gewettet
Auxiliaire haben
voir conjugaison allemande

wetten \vɛtn̩\ (voir la conjugaison)

  1. Parier, miser.
    • wetten, dass… on parie que…
    • In Deutschland müssen Wettanbieter fünf Prozent des Wetteinsatzes abgeben. Wettet ein Spieler beispielsweise 100 Euro, bekommt der deutsche Fiskus davon fünf Euro von Tipster, egal ob Tipster die Wette gewinnt oder verliert. — (Johannes Bauer, Jörg Schmitt et Nils Wischmeyer, « Mutmaßlicher Millionenbetrug bei Tipster », dans Süddeutsche Zeitung, 16 juin 2023 [texte intégral])
      En Allemagne, les opérateurs de paris doivent prélever cinq pour cent des mises. Par exemple, si un joueur mise 100 euros, le fisc allemand reçoit cinq euros de Tipster sur ce montant, que Tipster gagne ou perde le pari.

Dérivés modifier

Prononciation modifier

Néerlandais modifier

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Verbe modifier

wetten \Prononciation ?\ transitif

Présent Prétérit
ik wet wette
jij wet
hij, zij, het wet
wij wetten wetten
jullie wetten
zij wetten
u wet wette
Auxiliaire Participe présent Participe passé
hebben wettend gewet
  1. Aiguiser
    • Het blad van een zeis wetten.
      Aiguiser la lame d’une faux.

Vocabulaire apparenté par le sens modifier

Forme de nom commun modifier

wetten

  1. pluriel de wet.

Taux de reconnaissance modifier

En 2013, ce mot était reconnu par[1] :
  • 98,9 % des Flamands,
  • 99,3 % des Néerlandais.

Prononciation modifier

Références modifier

  1. Marc Brysbaert, Emmanuel Keuleers, Paweł Mandera et Michael Stevens, Woordenkennis van Nederlanders en Vlamingen anno 2013: Resultaten van het Groot Nationaal Onderzoek Taal, Université de Gand, 15 décembre 2013, 1266 p. → [lire en ligne]