drink
Étymologie
modifier- De l’anglais drink.
Nom commun
modifierSingulier | Pluriel |
---|---|
drink | drinks |
\dʁiŋk\ |
drink \dʁiŋk\ masculin
- (Familier) (Anglicisme) Cérémonie où l’on sert des boissons et souvent accompagné de zakouski.
Après la réunion, il y avait un drink.
- (Anglicisme) Verre d’alcool ; boisson festive.
Entrez, entrez, mes amis, fit-il avec rondeur. Un drink ?…
— (Bernard de Fligny, Le tiercé de la mort, Librairie des Champs-Élysées, 1981, chapitre III)Le drink par excellence de la femme moderne qui se prend en main, fière de ce qu’elle a accompli, c’est le champagne.
— (Sophie Durocher, Les bonheurs de Sophie, 2003)Longtemps sans grand intérêt gustatif, les cocktails sans alcool se sont taillé une place de choix auprès des consommateurs. Car ces drinks, désormais élaborés à partir de distillats très aromatiques, n’ont plus rien à envier à leurs homologues alcoolisés.
— (Léo Bourdin, Sans alcool, le nouveau code bar, Le Monde. Mis en ligne le 2 mai 2020)
Synonymes
modifierTraductions
modifierPrononciation
modifier- France (Lyon) : écouter « drink [Prononciation ?] »
Étymologie
modifier- (Verbe) Du moyen anglais drinken du vieil anglais drincan[1][2] du vieil anglais drincan, du proto-germanique *drinkaną (en). À comparer avec le néerlandais drinken et l’allemand trinken, de sens identiques[2].
- (Nom commun) Du moyen anglais drink, drinke du vieil anglais drinc[1][2] d’origine proto-germanique.
Nom commun
modifierSingulier | Pluriel |
---|---|
drink \dɹɪŋk\ |
drinks \dɹɪŋks\ |
drink \dɹɪŋk\
- (Boisson) Boisson.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Par ellipse) Boisson alcoolisée, verre (d’alcool).
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
Synonymes
modifierQuasi-synonymes
modifier- glass (Par métonymie)
Dérivés
modifier- after-dinner drink (« digestif »)
- have a drink
- long drink
- soft drink
Vocabulaire apparenté par le sens
modifierDérivés dans d’autres langues
modifierVerbe
modifierTemps | Forme |
---|---|
Infinitif | to drink \dɹɪŋk\ |
Présent simple, 3e pers. sing. |
drinks \dɹɪŋks\ |
Prétérit | drank \dɹæŋk\ |
Participe passé | drunk \dɹʌŋk\ |
Participe présent | drinking \dɹɪŋ.kɪŋ\ |
voir conjugaison anglaise |

drink \dɹɪŋk\ transitif, irrégulier
- (Physiologie) Boire.
I was in a garden in a hotel. I was reading a book. French Literary Fascism. I was drinking kir royale. I had two. The second one didn’t taste right. I didn’t finish it.
— (Andrea Dworkin, "The day I was drugged and raped" [en ligne], New Statesman, 5 juin 2000. Consulté le 29 avril 2024)- Je me trouvais dans le jardin d’un hôtel. Je lisais un livre. Le fascisme littéraire français. Je buvais du kir royal. J’en ai pris deux. Le second avait un drôle de goût. Je ne l’ai pas terminé.
- (Par ellipse) Boire de l’alcool, s’enivrer.
Her husband still drinks too much.
- Son mari boit toujours trop.
- (Par analogie) Absorber, pomper un liquide, un fluide.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Sens figuré) Absorber, faire pénétrer en soi, assimiler (une perception, une information, des émotions, une idée, etc.)
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
Dérivés
modifierPrononciation
modifier- \dɹɪŋk\
- Suisse (Genève) : écouter « drink [Prononciation ?] »
- Royaume-Uni (Londres) : écouter « drink [Prononciation ?] »
- Texas (États-Unis) : écouter « drink [Prononciation ?] »
- Connecticut (États-Unis) : écouter « drink [Prononciation ?] »
Forme de verbe
modifierdrink \Prononciation ?\
- Première personne du singulier du présent de drinken.
Taux de reconnaissance
modifier- En 2013, ce mot était reconnu par[3] :
- 99,2 % des Flamands,
- 98,1 % des Néerlandais.
Prononciation
modifier- (Région à préciser) : écouter « drink [Prononciation ?] »
Références
modifier- 1 2 “drink”, dans Middle English Dictionary, Université du Michigan, 2000-2018 → consulter cet ouvrage
- 1 2 3 (En anglais) Douglas Harper, Online Etymology Dictionary, 2001–2025 → consulter cet ouvrage
- ↑ Marc Brysbaert, Emmanuel Keuleers, Paweł Mandera et Michael Stevens, Woordenkennis van Nederlanders en Vlamingen anno 2013: Resultaten van het Groot Nationaal Onderzoek Taal, Université de Gand, 15 décembre 2013, 1266 p. → [lire en ligne]