fille
Étymologie
modifier- Du moyen français fille, de l’ancien français fille, fillie (c. 980), filie (c. 1050), du latin filia (« enfant de genre féminin, jeune personne »), féminin de fīlĭus (« fils »).
- Le mot latin se prononçait d’abord /ˈfi.li.a/. Dès le Ier siècle, le /i/ placé entre le /l/ et le /a/ final est devenu un yod qui a modifié la prononciation en /ˈfi.lja/. Puis ce yod s’est combiné au /l/ pour donner consonne spirante latérale palatale voisée, ou « l palatal », résultant en la prononciation /ˈfi.ʎa/. Ce phonème /ʎ/ a été maintenu en français jusqu’à la fin du XIXe siècle. Dans son dictionnaire, Émile Littré fait de nombreuses mises en garde visant à maintenir ce phonème, ce qui prouve qu’il était en train de disparaitre et d’évoluer en yod [1][2].
Nom commun
modifierSingulier | Pluriel |
---|---|
fille | filles |
\fij\ |
fille \fij\ féminin (pour un homme, on peut dire : garçon, fils)
- Enfant de genre féminin, par opposition à garçon ; aussi appelée fillette ou petite fille.
La violence à l’égard des femmes et des filles est l’une des atteintes aux droits de la personne les plus fréquentes dans le monde, se produisant et se répétant au quotidien dans tous les pays. Elle entraîne pour celles qui en sont victimes de graves conséquences physiques, économiques et psychologiques, à court et à long terme, entravant leur participation pleine et égalitaire à la vie en société. L’ampleur de son impact, tant sur les survivantes que sur leurs familles et même sur l’ensemble de la société, est incommensurable.
— (« Foire aux questions : Formes de violence à l’égard des femmes et des filles », dans ONU Femmes [texte intégral]. Consulté le 22 novembre 2023)Lancée il y a 10 ans par les Nations unies, la journée internationale de la fille vise à mettre en lumière les défis et les discriminations auxquels les filles, les adolescentes et les jeunes femmes font face pour préparer leur avenir sur un pied d’égalité avec les garçons.
— (« Journée internationale de la fille », dans France Diplomatie, 11 octobre 2022 [texte intégral]. Consulté le 22 novembre 2023)
- Tout être humain de genre féminin, enfant ou adulte, considéré par rapport à ses parents.
[…] il vint des Vieux Marais habiter à Manise comme brigadier, avec sa fille, une belle bachelle de dix-sept ans tout au plus.
— (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)Il traita d’abord Joséphine de putain, chose affirma-t-il qui ne l’étonnait guère attendu qu’elle était la fille de sa mère, […].
— (Louis Pergaud, Joséphine est enceinte, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)Quand il a des filles, un père de famille ne doit pas plus laisser introduire un jeune homme chez lui sans le connaître, que laisser traîner des livres ou des journaux sans les avoir lus.
— (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)Dans chaque dechra on trouve une à deux familles maraboutiques. Les mrabtin font remonter leur généalogie au prophète Mohamed par l'intermédiaire de sa fille Fatima et de son gendre Ali.
— (Aīssa Ouitis, Les contradictions sociales et leur expression symbolique dans le Sétifois, Société nationale d'édition et de diffusion, 1977, page 94)
- (Par extension) (Poétique) (Littéraire) (Soutenu) Descendante issue de telle ou telle lignée, ou native de tel ou tel pays.
La fille des Césars. — Une fille du peuple.
- (Vieilli) Fille, adolescente ou femme depuis sa naissance jusqu’à son mariage.
Nous autres jeunes filles françaises, nous sommes livrées par nos familles comme des marchandises, à trois mois, quelquefois fin courant.
— (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)Dès minuit, le père Canquoëlle pouvait ourdir toutes les trames, recevoir des espions et des ministres, des femmes et des filles, sans que qui que ce soit au monde s’en aperçût.
— (Honoré de Balzac, Splendeurs et misères des courtisanes, 1838-1847, première partie)Cette gentillesse qui abrégeait les formes et supprimait les fadaises ridicules que tout garçon se croit tenu de débiter à la belle fille dont il essaie de faire sa maîtresse, m’avait séduit.
— (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)François Cadet, un bel homme, un beau garçon dont les filles s’éprennent d’abord, pour qui elles se jalousent et se déchirent.
— (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 31)
- (Spécialement) Jeune fille encore vierge.
Que cherche Colombe ? Depuis qu’elle n’est plus fille, tient-elle à devenir la femme de tout le monde ? J'ai honte de mon amie.
— (Éric-Emmanuel Schmitt, Le Poison d’amour, éditions Albin Michel, Paris, 2014, page 116)
- (Par extension) Femme célibataire.
Ce qui tourmentait et désolait et retournait le curé de Melotte, c’était le dévergondage des filles et des garçons du pays.
— (Louis Pergaud, Le Sermon difficile, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)Maman s’imaginait que toute la ville connaissait mon aventure. Personne ne voudrait plus m’épouser. Elle avait cette idée fixe que je resterais fille.
— (François Mauriac, Le Nœud de vipères, Grasset, 1933, réédition Le Livre de Poche, page 46)
- (Vieilli) (Par ellipse) Fille d’honneur ; demoiselle d’honneur.
elle [Louise de Savoie] mena toutes ſes filles
— (Mme de La Fayette, La Princesse de Clèves, 1678)
- (Christianisme) Nom que l’on donne aux religieuses de certaines communautés.
Les filles de saint Vincent de Paul. — Les filles du Carmel, de la Charité.
- (Vieilli) Servante ; employée.
- En sabots, les manches relevées sur leurs bras blancs, les filles balayaient le devant des boutiques. — (Francis Carco, Brumes, Éditions Albin Michel, Paris, 1935, page 158)
- (Par ellipse) (Familier) (Vieilli) Fille de joie ou fille de trottoir ; prostituée.
Alors, une fille, n’est-ce pas ? dites tout de suite que je suis une fille, qu’on chasse des maisons qui se respectent !
— (Émile Zola, Les Trois Villes : Paris, 1897)La place Pigalle, passé deux heures du matin, est le refuge des noctambules professionnels. Des musiciens, des nègres, des filles, des invertis se donnent rendez-vous dans les bars et voient souvent l’aube se lever sans que la chance leur ait souri.
— (Francis Carco, Images cachées, Éditions Albin Michel, Paris, 1928)Le long des boutiques éclairées, des ombres se succédaient sans hâte. Il y avait des nègres, quelques Chinois, des blancs. Tous reluquaient les filles.
— (Francis Carco, Brumes, Éditions Albin Michel, Paris, 1935, page 41)Il arrive aussi, mais cet usage tend à disparaitre au début de la IIIe République, que les filles racolent en arpentant à tour de rôle le trottoir situé devant la maison.
— (Alain Corbin, Les filles de noce, 1978)
- (Sens figuré) (Vieilli) Établissement qui est de la fondation et de la dépendance d’un autre.
Ces abbayes sont filles de Cîteaux.
C’est une fille, une des filles de Cluny.
- Par extension, Jeune femme.
Pour décrire le rapport des filles à la route, David Le Breton évoque "L'Ethique du care" de Carol Gilligan : un ouvrage sociologique décrivant, entre autres, l'idée que les femmes ont une autre manière de penser la morale que les hommes.
— (Jean PORCHER, Le rapport des jeunes à la conduite, APRR, 10 juin 2023)
Quasi-synonymes
modifierDérivés
modifier- bonne fille
- carte fille
- demi-fille
- embrasser la fille du canonnier (Marine) (Vieilli)
- être grande fille
- fifille
- fillasse
- fille à matelots
- fille à soldats
- fille à tout faire (Vieilli)
- fille aînée des rois de France
- fille aînée de l’Église
- fille d’amour
- fille d’archevêque
- fille d’Ève
- fille d’honneur
- fille de boutique
- fille de chambre
- fille de choix
- fille de cœur
- fille de cuisine
- fille de ferme
- fille de joie
- fille de rien
- fille de service
- fille de trottoir
- fille du trottoir
- fille facile
- fille galante
- fille manquée
- fille-mère
- fille perdue
- fille publique
- fille repentie
- fille soumise
- fillette
- grande fille
- herbe à la belle fille
- party de filles
- petite fille
- petite-fille
- vieille fille
Proverbes et phrases toutes faites
modifierTraductions
modifierJeune humaine (1)
- Aasá : ilúk (*)
- Afrikaans : meisie (af)
- Aléoute : asxinux̂ (*)
- Allemand : Mädchen (de) neutre
- Anglais : girl (en)
- Arabe : اِبْنَة (ar) ’ibnah
- Arabe algérien : بنت (*)
- Arménien : աղջիկ (hy) aġǰik
- Bambara : deni (bm), npogotigi (bm), sunguni (bm), sungurun (bm)
- Basque : neska (eu), alaba (eu)
- Madl (*) neutre, Diandl (*) neutre :
- Bosniaque : djevojka (bs)
- Breton : plac’h (br)
- Bulgare : момиче (bg) momiche
- Cantonais : 女仔 (zh-yue) neoi5 zai2
- Catalan : noia (ca), al·lota (ca), xica (ca), xicota (ca), mossa (ca)
- Chaoui : tahyuyt (shy), tameččukt (shy)
- Chinois : 女孩 (zh) nǚhái
- Chleuh : ⵜⴰⵔⴱⴰⵜ (*)
- Coréen : 여자 (ko) yeoja
- Créole réunionnais : fiy (*)
- Danois : pige (da) commun
- Dogon : iya (*)
- Espagnol : chica (es) féminin ; muchacha (es) féminin ; niña (es) féminin
- Espéranto : knabino (eo)
- Féroïen : genta (fo)
- Finnois : tyttö (fi)
- Flamand occidental : mokke (*)
- Gaélique écossais : caileag (gd)
- Gaélique irlandais : cailín (ga)
- Gallo : fiylh (*)
- Gallois : geneth (cy)
- Géorgien : გოგო (ka) gogo
- Ghomala’ : medjui (*)
- Gotique : 𐌼𐌰𐍅𐌹 (*) mawi ; 𐌼𐌰𐌲𐌰𐌸𐍃 (*) maǥaþs féminin
- Grec : κορίτσι (el) korítsi
- Grec ancien : κόρη (*) kórē féminin, κορίον (*) koríon neutre
- Griko : jatèra (*), kiatèra (*) féminin
- Gujarati : છોકરી (gu)
- Gwich’in : nich’it (*)
- Hébreu : ׳לרה (he) ylirah féminin
- Hébreu ancien : ילדה (*) yalda féminin
- Hindi : लड़की (hi) laṛakī
- Hongrois : lány (hu)
- Ido : yunino (io)
- Interlingua : puera (ia)
- Islandais : stelpa (is)
- Istriote : pèicia (*)
- Istro-roumain : fetĕ (*)
- Italien : ragazza (it) féminin
- Japonais : 乙女 (ja) otome, 女子 (ja) joshi
- Kabyle : taqcict (*) féminin, tullas (*) féminin pluriel, yell (*)
- Kazakh : қыз (kk) qız
- Kikaï : 女童 (*), めーらび (*)
- Kikuyu : muiretu (*)
- Kinyarwanda : kobwa (rw) (umukobwa)
- Kirundi : umukobwa (rn), umwigeme (rn), inkumi (rn)
- Kotava : ayikocya (*)
- Koyukon : sołtʼaanh (*)
- Kunigami : 女童 (*), めーらび (*)
- Kurde : keç (ku), qîz (ku)
- Latgalien : mārga (*)
- Laze : ბოზო (*)
- Lepcha : ᰊᰣᰤᰪ (*)
- Letton : meita (lv)
- Luxembourgeois : Meedchen (lb)
- Maori : hine (mi)
- Métchif : fii (*)
- Mohawk : eksá:'a (*)
- Myènè : onghwan'onghwanto (*)
- Néerlandais : meisje (nl), meid (nl) féminin
- Nganassan : ны нюо (*)
- Nivkh : умгуоӻла (*), р̌аӈӷэӻлӈ (*)
- Normand : file (*)
- Norvégien (bokmål) : jente (no) ; pike (no)
- Norvégien (nynorsk) : jente (no) ; pike (no)
- Nǀu : ǃoakerasi (*)
- Occitan : dròlla (oc), goja (oc), gojata (oc), gojatassa (oc), gojarita (oc)
- Oirata : pana (*), panarai (*)
- Oki-no-erabu : 女 (*), 女子 (*), をぅなぐ (*), いぃなぐ (*), ゐなぐ (*), うなぐ (*)
- Pendjabi : ਕੁੜੀ (pa) kuṛī
- Persan : دختر (fa) dokhtar
- Pirahã : hoísai (*)
- Polonais : dziewczyna (pl)
- Portugais : menina (pt), rapariga (pt), moça (pt), garota (pt), gaiata (pt), miúda (pt)
- Roumain : fată (ro)
- Russe : девочка (ru) devotchka, дочка (ru), девица (ru) dévica féminin
- Same du Nord : nieida (*)
- Sango : môlengê-wâlï (sg)
- Sanskrit : बाला (sa) bālā
- Slave molisan : bàmbinica (*) féminin
- Slovaque : dievča (sk)
- Songhaï koyraboro senni : zankawoy (*)
- Suédois : flicka (sv)
- Swahili : msichana (sw)
- Tchèque : děvče (cs) ; holka (cs) ; dívka (cs)
- Tourangeau : drolière (*), droyère (*)
- Touvain : кыс (*)
- Turc : kız (tr)
- Ukrainien : дівчинка (uk) divtchynka
- Vietnamien : con gái (vi)
- Wallon : båshele (wa), crapåde (wa), feye (wa), maraye (wa)
- Yoruba : ọmọbìnrin (yo)
Enfant (descendante directe) de genre féminin (2)
- Afrikaans : dogter (af)
- Aléoute : asxinux̂ (*)
- Allemand : Tochter (de) féminin
- Anglais : daughter (en)
- Vieil anglais : dohtor (ang)
- Arabe : بِنْت (ar) bint, اِبْنَة (ar) ’ibnah
- Arabe algérien : بنت (*)
- Arménien : դուստր (hy) dustr
- Bachkir : ҡыҙ (*)
- Bambara : nega din (bm) ; denmuso (bm)
- Basque : alaba (eu)
- Diandl (*) neutre, Dochta (*) féminin :
- Breton : merc'h (br)
- Bulgare : дъщтеря (bg) dăšterja
- Catalan : filla (ca)
- Chaoui : yelli (shy)
- Chinois : 女儿 (zh) (女兒) nǚ’ér
- Copte : ϣⲉⲣⲓ (*) šeri, ϣⲉⲉⲣⲉ (*) šeere
- Coréen : 딸 (ko) ttal
- Danois : datter (da) commun
- Dogon : i (*)
- Égyptien ancien : 𓊃𓅭𓏏 (*) sȝt, 𓈚𓂋𓇋𓏏𓁐 (*) šrit
- Espagnol : hija (es)
- Espéranto : filino (eo)
- Féroïen : dóttir (fo)
- Finnois : tytär (fi)
- Gaélique écossais : nighean (gd)
- Gaélique irlandais : iníon (ga)
- Gagaouze : kız (*)
- Gallo : fiylh (*)
- Gallois : merch (cy)
- Géorgien : ქალიშვილი (ka) k’ališvili , ასული (ka) asuli
- Gotique : 𐌳𐌰𐌿𐌷𐍄𐌰𐍂 (*) daúhtar
- Grec : κόρη (el) kóri
- Grec ancien : θυγάτηρ (*) thugátêr, συγάτηρ (*) sugátêr féminin
- Griko : jatèra (*), kiatèra (*) féminin
- Gujarati : છોકરી (gu) čʰokrī
- Hébreu : בת (he) bat
- Hindi : बेटी (hi) betī
- Hongrois : lány (hu)
- Ido : filiino (io)
- Interlingua : filia (ia)
- Inuktitut : ᐸᓂᒃ (iu) panik
- Inupiaq : panik (ik)
- Islandais : dóttir (is)
- Italien : figlia (it) féminin
- Japonais : 娘 (ja) musume
- Kabyle : yell (*)
- Jeju : ᄄᆞᆯ (*)
- Karatchaï-balkar : къыз (*)
- Kazakh : қыз (kk) qız
- Khakasse : хыс (*)
- Kikaï : 女童 (*), めーらび (*)
- Kikuyu : mwarĩ (*)
- Kinyarwanda : kobwa (rw) (umukobwa)
- Kirghiz : кыз (ky)
- Kotava : nazbeikya (*)
- Koumyk : къыз (*)
- Kunigami : 女童 (*), めーらび (*)
- Kurde : keç (ku), qîz (ku)
- Latin : nata (la), filia (la) féminin
- Lepcha : ᰊᰣᰤᰪᰀᰪᰱ (*)
- Luxembourgeois : Duechter (lb) féminin
- Mycénien : 𐀶𐀏𐀳 (*) tu-ka-te féminin
- Myènè : onghwan'onghwanto (*)
- Néerlandais : dochter (nl) féminin
- Nganassan : кобтуа (*)
- Nivkh : оӻла (*)
- Normand : file (*)
- Norvégien (bokmål) : datter (no)
- Norvégien (nynorsk) : dotter (no)
- Occitan : filha (oc)
- Persan : دختر (fa) dokhtar
- Pirahã : hoísai (*)
- Polonais : córka (pl)
- Portugais : filha (pt)
- Roumain : fiică (ro) féminin
- Russe : дочь (ru) dotch’, дщерь (ru) ds̆c̆er' féminin
- Same du Nord : nieida (*)
- Sango : môlengê-wâlï (sg)
- Sanskrit : दुहितृ (sa) duhitr̩ féminin
- Shimaoré : mwana mtru-mshe (*)
- Shindzuani : mwana mntru-mshe (*)
- Shingazidja : mwana-mshe (*), binti (*)
- Slovène : dievča (sl)
- Songhaï koyraboro senni : zankawoy (*)
- Suédois : dotter (sv)
- Swahili : binti (sw)
- Tatar de Crimée : qız (*)
- Tatare : кыз (tt)
- Tchèque : dcera (cs)
- Tchouvache : хĕр (*)
- Tofalar : ӄыс (*)
- Tourangeau : feuille (*)
- Tsakonien : σάτη (*) sáti féminin
- Turkmène : gyz (tk)
- Ukrainien : дочка (uk) dotchka, донька (uk) don’ka
- Urum : хыз (*)
- Yoruba : ọmọ obìnrin (yo)
- Yupik central : panik (*)
Prononciation
modifier- \fij\
- France : écouter « une fille [yn fij] »
- France : écouter « fille [fij] »
- (Région à préciser) : écouter « fille [fij] »
- France (Muntzenheim) : écouter « fille [fij] »
- (Région à préciser) : écouter « fille [fij] »
- France (Paris) : écouter « fille [fij] »
- France (Paris) : écouter « fille [fij] »
- France (Paris) : écouter « fille [fij] »
- France (Paris) : écouter « fille [fij] »
- (Région à préciser) : écouter « fille [fij] »
- France (Paris) : écouter « fille [fij] »
- France (Vosges) : écouter « fille [fij] »
- France : écouter « fille [fij] »
- Français méridional : /ˈfi.jə/
- Canada : [fɪj]
- Québec (Canada) : écouter « fille [fɪːj] »
- Populaire : \fi\
- Cornimont (France) : écouter « fille [fi] »
- Suisse (canton du Valais) : écouter « fille [fiː] »
- Vendée (France) : écouter « fille [Prononciation ?] »
Voir aussi
modifier- Annexe:Famille en français
- fille sur le Dico des Ados
- Fille (homonymie) sur l’encyclopédie Wikipédia
- Filles dans la bibliothèque Wikisource
Références
modifier- ↑ Explication de Bernard Cerquiglini en images
- ↑ « fille », dans Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, 1872–1877 → consulter cet ouvrage
- Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition, 1932-1935 (fille)
- « fille », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage
Étymologie
modifier- Du latin filia.
Nom commun
modifierCas | Singulier | Pluriel |
---|---|---|
Cas sujet | fille | filles |
Cas régime | fille | filles |
fille *\Prononciation ?\ féminin
Variantes
modifierÉtymologie
modifier- Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Nom commun
modifierfille féminin
- (Météorologie) Flocon.
Synonymes
modifierForme de verbe
modifierfille /ˈfilːe/